Sources et puits de gaz à effet de serre (CO2, CH4, N2O) en prairie pâturée et stratégies de réduction,Des mesures des flux de CO2, CH4 et N2O ont été réalisées durant deux ans sur une prairie permanente préalablement gérée de manière intensive par la fauche et le pâturage en moyenne montagne (Laqueuille, 63). ,Depuis Avril 2002, cette prairie a été pâturée par des bovins en comparant deux traitements contrastés : pâturage intensif avec fertilisation azotée (1,0 Unité Gros Bétail UGB ha-1 et 170 kg N ha-1 an-1) et pâturage extensif (0,5 UGB ha-1) sans fertilisation. ,Le bilan de la première année de mesures montre qu’une extensification (réduction du chargement animal et arrêt de la fertilisation azotée) permet de stocker plus de carbone dans la prairie (NEE de -0,38 et -1,40 t CO2 ha-1 an-1 dans les traitements intensifs et extensifs, respectivement).,
9061-0115.JPG ORE_11102007 (28)
Lien vers la page du documentCopiez/collez ce lien pour l'envoyer par email, l'inclure dans une page web ou le partager sur les réseaux sociaux.
Sources et puits de gaz à effet de serre (CO2, CH4, N2O) en prairie pâturée et stratégies de réduction,Des mesures des flux de CO2, CH4 et N2O ont été réalisées durant deux ans sur une prairie permanente préalablement gérée de manière intensive par la fauche et le pâturage en moyenne montagne (Laqueuille, 63). ,Depuis Avril 2002, cette prairie a été pâturée par des bovins en comparant deux traitements contrastés : pâturage intensif avec fertilisation azotée (1,0 Unité Gros Bétail UGB ha-1 et 170 kg N ha-1 an-1) et pâturage extensif (0,5 UGB ha-1) sans fertilisation. ,Le bilan de la première année de mesures montre qu’une extensification (réduction du chargement animal et arrêt de la fertilisation azotée) permet de stocker plus de carbone dans la prairie (NEE de -0,38 et -1,40 t CO2 ha-1 an-1 dans les traitements intensifs et extensifs, respectivement).,